EN FAIT...

En fait, si tu ne connais pas quelqu’un tu ne peux pas avoir travail (relation est mieux que diplôme)

En fait, les filles sont devenues matérialistes et sont prêtes à tout pour de l’argent.

   

En fait, la jeunesse aujourd’hui aime la facilité, elle refuse de souffrir pour réussir.

En fait, la musique ivoirienne fait l’apologie de mauvaises pratiques avec des paroles douteuses et des danses obscènes.

En fait, les jeunes préfèrent se divertir au lieu de faire des choix judicieux pour leur avenir.

En fait, le pays là ce n’est pas la peine, c’est mieux d’aller se chercher ailleurs.

En fait, les politiciens ne se soucient pas du peuple, ce qui compte pour eux, ce sont leurs intérêts.

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Le fait est que tous ces maux minent la société ivoirienne et nous empêche de nous hisser rapidement au niveau de nations développées. Il se pourrait que tout ça soit vérifié, mais en attendant on fait quoi ?? On pleure ou on progresse ?

Pourquoi refuser de croire en notre capacité de faire évoluer les choses ? 
Si la prochaine génération c’est nous, alors il y a de grandes chances que nous puissions changer les choses dans le bon sens.

              

Au lieu d’attendre que le pays fasse ceci pour nous, demandons-nous ce que nous pourrons faire pour lui, ce que nous pourrions faire pour laisser un pays plus prospère à nos enfants et aux futures générations.

En fait, On peut changer les choses et ça commence par l’envie de voir les choses évoluer.